Le Monde 5 va se terminer !

Le vieux Barbare est au sommet de ses fortifications et surveille la vaste plaine qui entoure sa cité.

- Les peaux vertes ne sont pas encore la !

Un de ses conseiller aproche.

- Chef la cité de l'Orc Thermomix est détruite. Vous avez eu raison d'envoyer une troupe pour voir ce qui ce passait. Nos espion sont trop mauvais pour donner des informations précises. Thermomix na pas compris votre stratégie il a cru que vous participiez à l'attaque avec les peaux vertes et du coup il vous a maudit. pourtant nous n'avons pas envoyé plus d'une unité.

- Je sais mais il ne faut pas trop en demander à un Orc. En tout cas il s'est très bien défendu. Maintenant c'est notre tour. Il va falloir demander à nos Barbare de se défendre avec toute la rage qu'ils les caractérises. Ce qui m'afflige le plus c'est la traitrise d'Albion, mais j'aurais du le prévoir quand j'ai vu que Kassad c'était fait berner par ces peaux vertes. Trois peaux vertes contre un Barbare, et bien on va leur montrer que leur victoire n'est pas encore acquise.

Corcos repensa aux derniers évennements. Pendant que les peaux vertes attaquaient Thermomix il essaya bien de détruire la cité de Balt mais en vain. Pourtant il avait lancé tous ces barbares dans la bataille et malgré leurs valeurs ils furent tous anéantis. Maintenant que pouvait il faire seul face au trois ?

Il ne peut plus que retardé l'échéance au maximum. Déjà les voleurs Gobelins sont à l'ouvrage. Certains venant de la cité d'Albion ont été mis à la question et on fini par craché le nom de leur maitre, mais d'autre sont passé au travers des mailles du filet.

- Maintenant je vais faire Honneur à mes alliés, aujourd'hui disparu, Krosagor, Matthéo, Silencer, Jarroooood et Eero.

Du haut de ses fortifications Corcos entendit le hurlement de l'Orc.

- Voilà il n'y a plus que moi pour résister à ses peaux vertes.

A peine eu t'il fini de prononcer cette phrase qu'un grondement agita la plaine. Corcos vit tout d'abord un immense nuage de poussière à l'horizon. Le soleil se couchait et Corcos demanda à ses hommes de partir se reposer. Demain sera une longue, très longue journée.

Au première lueur du jour Corcos se leva pris sa hache préféré et se dirigea vers les fortifications. Ses hommes se réveillaient doucement et commencaient à se restaurer.

- Manger, car je ne sais pas quand nous pourrons prendre un autre repas.

Arriver sur les remparts il regarda la plaine. Deux colonnes arrivaient. Les étendarts représentaient les maisons de Albion et de Balt. Tiens Il manque un Violon. La colonne de la maison d'Albion faisait peine par rapport à celle de Balt. Vraiment ce Balt était un rude adversaire. Corcos lui avait détruit nombre de ses troupes et pourtant c'était lui qui avait le plus gros contingent. 411 troupes pour Balt contre 90 pour Albion. Ce dernier était bien un traîte mais en plus c'est un couar !! il laisse les autres faire. Maintenant les deux colonnes se sont réunis et s'pporche de la cité.

- Mes Barbares je crois qu'il est temps de monter sur les fortifications. Nos amis les peaux vertes sont arrivés.

Les gobelins se lancent à l'attaque de la citée. Les mages barbares répondent aux mages Gobelins en même temps les archers se mettent à l'oeuvre.

Une centaine de Gobelins s'effondrent tandis que du coté des Barbares il y a sensiblement un peu plus de perte.

Puis les gobelins escaladent les fortifications et se lancent dans un corps à corps sanglant avec les Barbares. Corcos ne donne pas sa part et fend de sa hache les peaux vertes qui approchent. Autour de lui ses barbares fond de même mais malgré leur vaillance les gobelins déchaînés les déciment.

Après plusieurs heures les Barbare ont pris le dessus et on pu empêcher les gobelins de rentrer dans la cité. Corcos lancent alors ses cavaliers sur les derniers gobelins.

- Pas de quartier, lance t'il. Pas de prisonnier je ne veux plus voir une peaux verte en vie.

Se tournant vers l'un de ses hommes.

- Faites moi un décompte des survivants.

Lorsque l'homme revient il tend un parchemins à Corcos. Ce dernier pâlit en lisant le rapport.

- Ces peaux vertes sont vraiment de rude combattant. Bon ! Enlever et brulez les morts. Nous ne pouvons nous permettre d'avoir en plus des épidémies. Réparer les fortifications, même si je trouve leur utilité faible. Ils vont bientôt revenir et surement encore plus nombreux. Alors prenez du repos, des renforts frais arrivent sous peu.

Puis Corcos plongea à nouveau son regard dans le rapport. Combien de temps pourrons nous résister ? pensa t'il.

Comme je n'ai pas eu le rapport de la destruction de ma cité je ne peux donc pas finir mon histoire.